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Aux notes enchantées

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Aux notes enchantées
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Salut, moi c’est Steeve ! 41 ans, passionné de musique, et jamais rassasié de découvertes sonores. Ce blog, c’est mon espace pour partager mes coups de cœur et donner un coup de projecteur à des artistes qui méritent d’être écoutés fort. Si tu aimes les chroniques honnêtes, écrites le cœur, tu es au bon endroit. N’hésite pas à laisser un mot ou à partager tes propres découvertes
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25 juillet 2025

Quand la musique devient émotion – bienvenue sur Aux Notes Enchantées.

Quand la musique devient émotion – bienvenue sur Aux Notes Enchantées.
Bonjour à toi, cher·e visiteur·se, Je m'appelle Steeve, passionné de musique depuis toujours, et je suis ravi de t’accueillir ici, sur Aux Notes Enchantées. Ce blog est né de l’envie de partager mes coups de cœur musicaux, de faire découvrir des artistes...
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7 novembre 2025

Made In Heaven, 30 ans après : quand la fin devient éternelle

 

Il y a 30 ans sortait le dernier album de Queen Made In Heaven. Du moins, le dernier avec Freddie Mercury, puisqu’il y a eu ensuite l’album Queen + Paul Rodgers. 
Cet album posthume a été publié en 1995, trois ans après le décès de Freddie. Il contient les derniers enregistrements de 1991, mais aussi des titres retravaillés, initialement issus de projets solo :

 

  • Heaven for Everyone, extrait de l’album de Roger Taylor avec The Cross (1988),
  • Too Much Love Will Kill You, tiré de l’album solo de Brian May (1988) et je trouve que la version chantée par Freddie supplante celle de Brian,
  • Made in Heaven et I Was Born to Love You, issus de Mr. Bad Guy, l’album solo de Freddie (1985), ces deux nouvelles versions sont beaucoup plus percutantes et entre dans une autre dimension. D'ailleurs, j'avais découvert les versions Made In Heaven avant les versions Mr. Bad Guy et j'étais très déstabilisé les premières fois ^^

 

Tous ces morceaux ont été réarrangés par Brian, Roger et John, avec un soin évident.

Je me suis replongé dans l’album pour cette chronique, et hormis My Life Has Been Saved qui me touche moins, je dois dire que l’ensemble reste très bon. De même, le titre gospel Let Me Live est génial et reste dans le plus pur esprit de Queen, qui a toujours pris le risque d’explorer différents styles musicaux — avec plus ou moins de réussite (coucou Hot Space !).
Mais cette fois, pas de chronique "titre par titre" : j’ai choisi de me concentrer sur les morceaux les plus bouleversants, ceux qui portent la voix de Freddie jusqu’au bout.

 

Mother Love

 

Mother Love est le dernier enregistrement de Freddie. Il n’a pas pu aller jusqu’au bout, et c’est Brian qui a pris le relais pour le dernier couplet (qui s'en sort avec brio). Ce morceau est particulièrement bouleversant : même affaibli, Freddie livre un deuxième couplet d’une puissance vocale saisissante, et surtout des paroles d’une tristesse infinie :

 

I've walked too long in this lonely lane
J'ai marché trop longtemps dans ces rues vides
I've had enough of this same old game
J'en ai eu assez de ce même jeu obsolète
I'm a man of the world and they say that I'm strong
Je suis un homme du monde et ils disent que je suis fort
But my heart is heavy, and my hope is gone
Mais mon cœur est lourd, et je n'ai plus d'espoir
Out in the city, in the cold world outside
Dehors, au cœur de la ville, dans le monde glacial
I don't want pity, just a safe place to hide
Je ne veux pas de pitié, juste une place où me cacher en sécurité
Mama please, let me back inside
Maman, je t'en prie, laisse-moi revenir à l'intérieur

(Source Lacoccinelle)

 

C’est la première fois que je l’écoute au casque, et l’explosion sonore m’a encore plus submergé.
La fin — ce mélange d’impro vocale live à Wembley, de l’extrait de Going Back et du cri d’un bébé — m’achève systématiquement.

 

You Don’t Fool Me

 

Plus loin, You Don’t Fool Me reste un de mes titres préférés.
Écrit par Roger et Freddie, enregistré en 1991 (et ça s’entend), retravaillé en 1995, c’est un morceau souvent critiqué… mais que j’ai aimé dès la première écoute.
Groovy, pêchu, porté par une superbe ligne de guitare de Brian May, il amène une respiration rythmée dans un album globalement très mélancolique.

 

A Winter’s Tale

 

Enfin, impossible de ne pas mentionner A Winter’s Tale, le dernier morceau écrit entièrement par Freddie, composé depuis son appartement à Montreux, inspiré par l’hiver et la ville qu’il affectionnait tant.
Enregistrée en 1991, durant les sessions d’Innuendo, cette ballade laisse transparaître une forme de paix.
On y sent Freddie en harmonie, presque détaché du drame qu’il vivait — et c’est justement ce calme qui bouleverse le plus.

 

Untitled / Track 13

 

L’album se referme sur un morceau mystérieux, souvent oublié, simplement intitulé "Untitled", ou Track 13.
Instrumental de 22 minutes (clin d'œil aux 22 ans de carrière du groupe ?) , ce titre instrumental expérimental mêle sons électroniques, nappes atmosphériques, rires étouffés et un passage vocal de Freddie aux environs de la dixième minute : "Are running ?", répété régulièrement durant une bonne minute. 
C’est planant, déroutant, profondément contemplatif. Ce long morceau a des allures de voyage cosmique, comme un écho lointain, un espace suspendu entre la fin et l’au-delà. Certains y entendent un adieu. D’autres, un simple dernier souffle prolongé.

 

Trente ans plus tard, Made In Heaven reste un album à part. Ce n’est peut-être pas le disque le plus fort émotionnellement — ce titre revient à Innuendo — mais c’est sans doute le plus touchant à sa manière.
Pas un hommage forcé, ni un adieu larmoyant, mais un dernier témoignage — humain, fragile, parfois bancal, mais profondément sincère.
Et ça suffit largement à en faire un album qu’on n’oublie pas.

 

 

4 novembre 2025

Danser avec ses monstres : June The Girl en pleine Sweet Thérapie

 

Alerte coup de coeur musical avec le second album de June the girl "Sweet Thérapie". De cette artiste je ne connaissais que l'excellent titre "I say love", que j'avais découvert sur les réseaux lors de sa sortie. Puis, victime des algorithmes je l'ai totalement malheureusement oublié. Jusqu'à ce que sur Tidal, dans les nouveautés sorties s'est affiché la pochette qui m'a sauté aux yeux de par son côté original avec le visage de June the girl avec le maquillage d'Arlequin avec les cheveux en bataille, le regard triste le tout sur fond rouge ! Plus interpellant que ce visuel, on peut difficilement faire mieux. J'ai lancé la lecture de l'album et j'ai été littéralement été happé dès la première chanson et les premières notes avec "Dancing with my monsters". Mais avant de débuter par la chronique de "Sweet Thérapie", une petite présentation de June the girl s'impose :

 

June The Girl est une chanteuse française, de son vrai nom Marine Bollengier. Elle s'est fait remarquer avec un premier single, I Say Love, en 2016. 

 

Elle commence la guitare à quatorze ans et décide de rentrer dans le monde la musique à 18 ans, lorsqu'elle revient de Guyane Française pour ses études. June déménage très souvent pour le travail de sa mère et se nourrit de ses voyages pour créer ses textes et sa musique. Depuis, toujours, June est une grande fan de Taylor Swift et aime s'en inspirer.

La chanteuse se rend régulièrement à Granville, dans le département de la Manche, où vivent ses grands-parents. Elle a vécu en Guyane puis à Marseille pour ses études. En dehors de sa carrière, June the girl est étudiante en communication et journalisme.

 

En 2014, elle rencontre Antoine Essertier qui décide de travailler sur son album. Elle participe à l'émission Destination Eurovision qui a pour but de désigner l'artiste représentant la France à l'Eurovision 2018 au Portugal. Elle termine 7ême avec 8 points, elle ne se qualifie pas pour la finale. (source musicMe)

 

Sweet Thérapie est un album résolument pop, dansant, saupoudré de belles références cinématographiques et porté par des textes puissants. C’est un album de contrastes : mélancolique, parfois ironique, toujours sincère. Il aborde sans fard la santé mentale, les relations toxiques, les tiraillements émotionnels — sans sombrer dans le pathos.

Les mélodies synthétiques sont redoutablement efficaces : elles trottent dans la tête, donnent envie de danser même quand les mots pleurent. On est dans une pop-thérapie, une catharsis en strass, entre ombres et néons.

 

Vocalement, June The Girl est d’une beauté incroyable. Tantôt fragile jusqu’au frisson, tantôt affirmée avec une audace désarmante, elle manie les émotions avec une parfaite maîtrise. Elle ne chante pas, elle confesse, elle incarne. Et elle alterne entre le français et l’anglais avec une vraie aisance, sans que ça paraisse forcé ou too much. Quant aux textes, que dire ? Ils sont tout simplement bouleversants, poignants la plupart du temps, et certains m'ont beaucoup parlé. Et rien de mieux que de se retrouver dans des textes, paroles dans lesquelles on se retrouve pour  mieux les savourer n'est-ce pas ?

 

 

Sweet Thérapie, c’est un album qui fait du bien sans faire semblant.
Une main tendue pour celles et ceux qui dansent avec leurs monstres, qui rient en pleurant, qui cachent leurs failles sous un trait d’eyeliner. June The Girl ne révolutionne pas la pop, mais elle y apporte sa voix sincère, touchante et actuelle. Et franchement, ça suffit amplement à en faire une belle surprise de cette seconde moitié d'année 2025. Comme d'habitude, je vous laisse avec mes morceaux préférés, ainsi que les magnifiques clips,  enjoy !

Pour suivre l'actualité de June The Girl, c'est par ici : Facebook, X, Instagram et la boutique officielle (avec l'album dédicacé)

 

2 octobre 2025

Throwback Thursday : il y a 20 ans, je découvrais Dead Can Dance

Aujourd’hui, pour le Throwback Thursday, je veux revenir sur une rencontre musicale qui a marqué ma vie : Dead Can Dance. Cela fait 20 ans cette année que j’ai découvert ce groupe hors du commun, et je n’aurais jamais imaginé que leur musique m’accompagnerait aussi longtemps, telle une bande sonore intime de mon existence.

Tout a commencé en 2005, au lycée. À la cafétéria, je discutais souvent musique (et un peu Formule 1 !) avec Isa, la serveuse. Un jour, elle me demande si je connaissais Dead Can Dance, je lui réponds que non et elle me dit que je devrais vraiment écouter car cela devrait me plaire.

 

Le soir même, direction la médiathèque de Nice. Je repars avec le best-of Wake dans mon sac de cours et je vais l'écouter sur le poste CD que j'avais. Les premières notes résonnent : Frontier (Demo), Anywhere Out of the World, Enigma of the Absolute… et déjà, je sens que quelque chose se passe. Puis vient la révélation avec Summoning of the Muse. Le choc. Les cloches en ouverture me transpercent, la voix de Lisa Gerrard m’arrache à la réalité. Elle me prend aux tripes comme jamais une voix ne l’avait fait auparavant.

 

 

Ce titre est un véritable chamboulement, gravé au fer rouge. Quand je dis que Dead Can Dance est devenu la bande sonore intime de ma vie, je pèse mes mots : ce jour-là, je me suis dit que Summoning of the Muse serait joué à mon enterrement. Vingt ans plus tard, je n’ai absolument pas changé d’avis.

Au fil des années, j’ai exploré toute leur discographie et mes albums de cœur restent The Serpent’s Egg, Within the Realm of a Dying Sun, Spleen and Ideal et Aion.

Lisa Gerrard est depuis devenue ma chanteuse préférée. Il n’y a, à mes oreilles, pas de voix plus belle, plus habitée, plus universelle. J’ai eu la chance de les rencontrer en 2012 lors d’une séance de dédicace à Paris. Mais j’étais tellement intimidé et impressionné que je n’ai pris aucune photo, ni même osé poser à leurs côtés. Le lendemain, je les ai vus en concert au Grand Rex : un moment somptueux, suspendu, totalement hors du temps.

 

Quarante-quatre ans après leurs débuts, force est de constater que la musique de Dead Can Dance demeure totalement intemporelle. Des titres comme Yulunga (découvert en 1998 grâce à la compilation Harmonia – Le Chant des rêves), Mesmerism, The Host of Seraphim, Severance, Cantara, The End of Words, Sanvean ou encore Dreams Made Flesh continuent de me bouleverser comme au premier jour.

Vingt ans après ma première rencontre avec eux, je le sais plus que jamais : Dead Can Dance restera à jamais la bande sonore intime de mon existence, une musique-refuge qui me suivra jusqu’au bout du chemin.

 

25 septembre 2025

Throwback Thursday : Yellow Sea, ce voyage intérieur qui me fascine encore cinq ans après

 

Aujourd’hui, j’avais envie de revenir sur l’une de mes chansons préférées : “Yellow Sea” de Landroid (dont j’avais déjà parlé ici). Depuis quelques semaines, je l’écoute en boucle. Elle a ce pouvoir étrange d’être à la fois ultra mélancolique et incroyablement réconfortante, comme un baume pour l’âme.

 

“Yellow Sea” est une méditation sur l’au-delà, écrite par Cooper après plusieurs décès de proches dont elle ressentait encore vivement la présence. Entre la voix magnétique de Cooper et la musique hypnotique façonnée par Greg, le résultat est saisissant.

 

Les nappes de synthés flottent comme une brume, la guitare s’élève à mi-parcours, la batterie lourde et lente pulse comme un cœur fatigué. Et puis il y a cette voix, douce et éthérée, qui répète “That’s all that it takes”. Le final en boucle — “I can, You can, She can, We can, That’s all that it takes” — me touche à chaque fois, comme une prière moderne, simple mais bouleversante.

 

Le clip qui accompagne le morceau est tout aussi magnifique. Cinq ans après l’avoir découvert, je le trouve toujours aussi fascinant, à l’image de la chanson. Cooper l’explique ainsi : « La vidéo dépeint un voyage à travers un portail vers l’au-delà, et nous voyons que ce n’est pas si effrayant après le choc initial. Il y a en fait beaucoup d’émerveillement et de joie de l’autre côté. » Cette vision visuelle prolonge parfaitement l’atmosphère du morceau, entre mystère et apaisement.

 

En fin de compte, Yellow Sea a ce don rare de faire voyager l’âme : une traversée intime qui rejoint l’infini.

 

Pour suivre l'actualité de LANDROID vous pouvez le faire via leur : Site officielFacebook , Twitter , Instagram et Bandcamp .

 

 

 

Cooper Gillespie : chants, guitare et basse
Greg Gordon : batterie et séquences 

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13 septembre 2025

Rétrospective de l'actualité musicale de la semaine

 

Aujourd’hui, j’ai envie de faire évoluer un peu ma manière de publier sur le blog, en vous partageant mes coups de cœur parmi les nouveautés musicales de la semaine qui sont au nombre de 4 !

Je commence avec le dernier titre de Corpus Delicti, Out of Stream. Écrit en 1995 mais finalement enregistré cette année, il figurera sur leur prochain album Liminal, prévu pour le 28 novembre (toujours en précommande par ici ).

 

 

C’est le titre le plus calme des trois singles déjà dévoilés (Chaos et Room 36), et sans doute aussi le plus sombre dans l’ambiance. Musicalement, il n’en reste pas moins efficace, avec une atmosphère presque hypnotique, portée par une ligne de basse omniprésente que j’adore. Le rythme de batterie, un brin martial, renforce ce côté envoûtant.

La guitare de Franck est un peu plus discrète que d’habitude, mais elle réserve tout de même quelques passages bien sentis, notamment sur le refrain et la fin du morceau. Quant à la voix de Sébastien, elle est toujours aussi tranchante, particulièrement puissante sur le refrain, ce qui rend le titre sacrément entêtant.

Si Out of Stream est une promesse, alors Liminal risque de faire très, très mal. Et franchement… j’ai hâte !

 

 

En deuxième coup de cœur cette semaine, saluons le grand retour du Garçon de l’Automne, qui signe un nouveau titre intitulé L’Ankou, près d’un an et demi après la sortie de son excellent album Prelude to Farewell.

Ce morceau est le premier extrait de son prochain opus, Ode to the Lost. Et le Breton qui sommeille en moi a été particulièrement touché par ce clin d’œil à l’une des plus grandes figures de la mythologie armoricaine : l’Ankou, le serviteur de la Mort. Ce personnage psychopompe, qui collecte les âmes dans sa charrette grinçante pour les conduire dans l’Autre Monde via les Monts d’Arrée  (source broceliande.guide) inspire ici un titre aussi riche que fascinant.

L’Ankou est un excellent morceau, porté par l’un de mes instruments fétiches : la vielle à roue. L’ambiance est à la fois dynamique, mi-bretonne, mi-gothique, et totalement envoûtante. Contrairement aux titres de Prelude to Farewell, celui-ci est chanté entièrement en français — ce qui m’a un peu surpris au départ, mais j’ai vite été conquis. Mention spéciale au passage avec les enfants qui reprennent le refrain en chœur avec Quentin : le rendu est superbe !

Cerise sur le kouign-amann : le clip est magnifique, avec une atmosphère halloweenesque à souhait, pile dans l’une de mes périodes préférées de l’année.

En tout cas, L’Ankou annonce un album très prometteur de la part du Garçon de l’Automne. L’automne n’a pas encore commencé… mais il frappe déjà à la porte.

 

 

 

Pas de nouveauté musicale cette fois, mais un événement visuel à ne pas manquer : tAngerinecAt a publié hier un nouveau clip du somptueux morceau Grief, réalisé par Marnanel Thurman.

Je trouve cette vidéo aussi originale que fascinante, avec un univers visuel fort qui colle à merveille à l’intensité du morceau. Et même si je connais cette chanson par cœur, elle me fait toujours autant frissonner. Il y a des titres comme ça… qui ne perdent jamais leur pouvoir.

J’en profite pour vous rappeler que l’album Grief sortira le 26 septembre prochain — et qu’il est d’ores et déjà possible de le pré-sauvegarder sur Spotify . Si vous ne l’avez pas encore fait, foncez. Cet album mérite d’être entendu, ressenti, et vécu.

 

 

 

 

Et pour conclure, mon gros coup de cœur de la semaine : le dernier single d’Archive, Look At Us, qui m’a littéralement scotché. Je l’écoute en boucle, c’en est devenu une obsession !

Ce titre m’a permis de redécouvrir la somptueuse voix de Lisa Mottram, déjà entendue sur Hyperreal, Surround by Ghosts, Freedom ou encore The Crown. Et là… je suis totalement tombé sous son charme. Une voix fragile, écorchée, tendue, terriblement émouvante — c’est typiquement le genre de timbre qui me touche en plein cœur.

Musicalement ? C’est de la bombe. Un gimmick guitare ultra efficace, des percussions lourdes et puissantes, et une mélodie qui reste en tête longtemps après l’écoute. C’est le genre de morceau que j’adore savourer au calme, casque vissé sur les oreilles, les pensées qui vagabondent.

Le clip, quant à lui, est fascinant — malgré le fait qu’il soit réalisé en IA (technologie que j’ai pourtant du mal à apprécier). Mais ici, l’usage est parfaitement justifié, car il illustre à merveille le propos du morceau : une réflexion sur un monde déformé, sur le mensonge et la tromperie (dixit Darius Keeler).

Look At Us annonce aussi un événement majeur : la sortie du treizième album d’Archive, Glass Minds, prévue pour le 27 février 2026. Et pour les fans français : rendez-vous le 3 avril 2026 à la Seine Musicale à Paris.

L’attente va être longue… mais intense.

 

J’espère que ce nouveau format vous a plu ! N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez, et si vous avez envie que je le poursuive.

 

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